Qu’est-ce qui me tient en écriture

 

Le « qu » élidé.

L’apostrophe qui s’exprime avec un accent. Le trait d’union qui marie les mots qui n’avaient pas prévu d’être conjugués au présent. Le « ce » qui, avec seulement deux lettres, cherche à démontrer une multitude de choses. Le « qui » qui clôt les mots d’avant pour mieux repartir sur un  Le « me » qui me dit que je suis bien là au moment où je pose sur la page les mots qui me tiennent. Le « tient » qui verbalise à titre indicatif mon attachement pour le complément. Le «en» que contient déjà «tient», une sorte de répétition générale avant le final et « écriture » qui n’est pas là par hasard. Je m’interroge encore, le point d’interrogation résumera ma question. Oui, j'allais oublier « est », e.s.t, une façon d'être.